En approche de Sullust.

Nous étions dans les temps, lorsque le mécène de Will, un certain Jakkar, a demandé à le voir à Etoile à portée. Hélas, c’était un piège du Jedi noir, encore une fois, et nous avons dû nous disperser pour nous en débarrasser, mais pas avant que ce scélérat n’appose un collier d’esclave piégé autour du cou du capitaine Will (avec un compte à rebours de 14 jours). Cela nous a obligé à emprunter un vaisseau et à causer malencontreusement des dégâts qui ont alerté les forces impériales.

Nous nous sommes donc séparer en trois, Elios partant semer le Jedi à bord de la Tortue en faisant route vers le secteur d’Eriadu, DS dérivant dans l’espace en direction de notre point de rendez-vous, la base secrète de Sorlann 7, tandis que le capitaine Will, Edric et moi-même nous rendîmes sur Malast, un monde du Soleil noir à l’écart. Une fois de plus, mes talents et ma connaissance de la bureaucratie impériale nous ont permis de voyager sans encombre ni violence. Ah, si plus de citoyens comprenaient enfin que la bureaucratie, c’est un art infiniment subtile et utile. Mais non, ils préfèrent recourir à la violence la plupart temps…

J’ai vendu sur place le vaisseau emprunté (mais la négociation était facile, dommage) et nous sommes retournés sur Sullust. J’ai eu la délicieuse occasion de rencontrer l’un des sous-gouverneurs d’Eriadu, un fat flatté par un jeune requin de la finance : Carl, de Siénar Industrie. Je pense avoir noué de fructueux contacts pour l’avenir.

Après avoir débarqué à Sullust, j’ai loué un vaisseau de jeunot et nous sommes allés discrètement rejoindre la base de Sorlann 7. Nous y avons retrouvé DS-1 et rencontré le cousin de mon ami Bail, un certains Hiram Organa. Celui-ci, très talentueux de ses mains et d’un calme olympien, a débarrassé le capitaine de son collier piégé.

A noter que nos têtes ont été mises à prix par l’Empire. Heureusement, dans leur méprise, les impérieux ne m’ont pas reconnu. Je suis d’ailleurs un peu déçu de l’ignorance de ces gratte-papiers, ainsi que du faible montant qui m’a été attribué. 5 000 crédits, franchement, je vaux bien plus !

Une vue du palais de Borgas le Hutt.

Quelques jours plus tard, nous avons atterris à Abbra. La démarche diplomatique et commerciale n’étant plus possible à cause du contretemps et de la méprise qui s’est produite à Etoile à portée, nous avons entrepris de nous infiltrer dans la forteresse secrète de Borgas pour récupérer un prospect, une designeuse de jouets à ce que j’ai compris.